Avis de valeur, évaluation, estimation, quel que soit le mot employé, LE BON PRIX, fixé entre le vendeur et le conseiller en immobilier pour le vente d’un bien est le facteur clé pour parvenir à la transaction.

Le délai idéal se situe entre 0 et 3 mois pour vendre un bien, dans les conditions « normales ».

A contrario, un bien surévalué ne se vendra pas avant 9 mois ou 1 an ou plus encore et perdra de sa valeur, il est alors « brûlé ».

La juste estimation du prix d’un bien requiert une bonne expérience du marché de la région impliquée. Le conseiller local qui n’affiche à son compteur plus de 10 à 12 ventes à l’année, ne peut se prévaloir d’une grande expérience. Il aura donc tendance pour garnir sa vitrine et remplir son site à signer des mandats simples et de surcroît à un prix trop élevé.

Double erreur :
1/ incapable de justifier clairement le prix, il cède à la pression des vendeurs.
2/ il veut rentrer à l’agence avec 1 mandat, alors il signe souvent n’importe quoi.
L’avis de valeur doit se situer dans une fourchette de prix haute et basse. Nul ne peut prétendre attribuer un prix fixe à un bien.

MES AVIS DE VALEUR SONT SYSTHEMATIQUEMENT GRACIEUX,
ce qui me permet d’expliquer pourquoi et comment j’arrive à ce prix. Le plus difficile, le plus délicat est de refuser la prise de mandat après l’explication, en cas de désaccord avec le (les) vendeur(s).

1/ Je ne travaille qu’avec des mandats « CALITIMO », basés sur le respect mutuel. Un mandat simple est une hérésie, un non-sens commercial et un permis d’être « cocu ».

2/ Je n’accepte pas qu’on m’impose un prix avec lequel je suis en désaccord. Ces biens arrivent souvent dans la vitrine concurrente, dans les 8 jours.

3/ Je n’accepte pas qu’on m’impose un délai pour vendre. Surtout après avoir discuté le prix de vente.

Avec le vendeur, je veux jouer la carte du partenaire et pas celle du concurrent.